Elle a fini de me dire quelle était le sacret
Bonheur que j'attendais
Elle a fini de me dire que la vie sans elle
Était une prison
Elle était au printemps : une fleur qui ne
Souvrait que devant moi
Qui ne parlait qu'avec moi
Qui ne vaporisait son parfum que sur moi
Quelle s'argentait
Quelle brillait que devant ma chaleur
Elle était le tapis vers léternel
Elle était le bon sens de la vérité
Elle était en été : la grande vague qui
Memmène loin ; loin très loin sur une île
Sur son île où il y avait du parfum de fleur
Quil y avait de l'or à la place du sable
Tout au long de ces bords
Quil y avait du somme de monts des pierres
Moins précieuses que son coeur
Et elle brillait que devant moi
Elle était le tapis vers éternel, elle était le bon sens de la vérité
Elle était en hiver : la haute montagne pleine de neige
Elle se couvre pour briller de loin pour la voir
Saches que je t'aime, je t'aime, je t'aime
Elle était le tapis vers éternel, elle était le bon sens de la vérité
Elle était en automne la lune blanche entre ces épaisses nuages
Elle brillait éclairer le noir de mes nuits
Elle se jette sur elle cette lumière
Pour m'attirer pour me rendre jaloux et fou
Elle était le tapis vers cet éternel beauté
Elle était le bon sens de la vérité
amicalement sof_sof